Rumeurs sur la RTX 5060 Ti 16 Go: pause possible, mémoire GDDR7 en hausse
Des sources évoquent une pause de la RTX 5060 Ti 16 Go: prix GDDR7 en hausse, VRAM chère. Alternatives 5060/5060 Ti 8 Go; livraisons RTX 50 en recul attendues.
Des sources évoquent une pause de la RTX 5060 Ti 16 Go: prix GDDR7 en hausse, VRAM chère. Alternatives 5060/5060 Ti 8 Go; livraisons RTX 50 en recul attendues.
© A. Krivonosov
Des rumeurs évoquent une possible pause temporaire de la production de la GeForce RTX 5060 Ti dotée de 16 Go de mémoire. D’après des sources de la chaîne d’approvisionnement, l’élément déclencheur serait une flambée des prix des puces mémoire et une disponibilité plus serrée—une pression qui pénalise surtout les modèles riches en VRAM. Dans un segment où la facture des composants peut faire ou défaire un modèle de milieu de gamme, l’inquiétude paraît crédible.
Il se dit que le lancement de la RTX 5060 Ti 16 Go devient moins économique. Intégrer 16 Go sur un bus de 128 bits impose huit puces GDDR7, montées des deux côtés du PCB. On se rapproche ainsi du décompte de cartes plus coûteuses, alors que la série RTX 5060 vise des plafonds budgétaires stricts. À titre de comparaison, la RTX 5060 Ti 8 Go utilise quatre puces, et la RTX 5070 12 Go en utilise six.
En alternative, les partenaires de NVIDIA pourraient miser sur la GeForce RTX 5060 et la RTX 5060 Ti 8 Go, en orientant ceux qui ont besoin de davantage de VRAM vers la RTX 5070. Une telle approche réduirait les chevauchements de prix et de performances dans le milieu de gamme et simplifierait le positionnement à mesure que les coûts grimpent. Elle dessinerait aussi une marche d’évolution plus nette, sans imposer 16 Go à une conception sensible au budget.
Ces échos rejoignent des discussions plus larges sur une baisse des expéditions de la série RTX 50. Des sources industrielles avancent que les livraisons du premier semestre 2026 pourraient être inférieures de 30 à 40 % à celles d’un an plus tôt, là encore en raison de contraintes sur la mémoire. NVIDIA ne l’a pas confirmé; il convient donc d’aborder ce scénario avec prudence, au moins jusqu’à ce que d’éventuels changements se lisent dans les livraisons réelles et sur les étals. Pour l’heure, c’est un dossier à suivre plutôt qu’un verdict.